42e colloque international du GERAS – 18-20 mars 2021 – Université de Lorraine, Nancy APPEL À COMMUNICATIONS Culture(s) littéraire et scientifique : Ruptures et continuités en anglais de spécialité

APPEL À COMMUNICATIONS
Culture(s) littéraire et scientifique : Ruptures et continuités en anglais de spécialité
En 1959, C.P. Snow décrivait en Grande-Bretagne deux « cultures » qui, selon lui, divisaient radicalement le champ du savoir : une culture littéraire et une culture scientifique. Ce clivage perdure aujourd’hui en France, il suffit pour s’en convaincre de relire Sokal & Bricmont (1997), qui en fournissent une illustration toujours d’actualité. À noter que lorsque Snow écrivait, les lettres classiques étaient largement valorisées socialement, au détriment des sciences. Aujourd’hui, la tendance s’est totalement inversée, mais le clivage demeure ; et en lisant Morin (1994), on peut voir comment la formation historique des disciplines universitaires au 19e siècle est à l’origine de ce clivage. Il y a dans le phénomène des aspects diachroniques et sociétaux. C’est donc autour de ce clivage entre science, technologie, ingénierie, mathématiques (STIM) et sciences humaines et sociales (SHS) que le colloque du GERAS, qui aura lieu du 18 au 20 mars 2021 à Nancy, souhaite questionner le rapport entre compétence langagière et connaissance du domaine. Ce questionnement, qui concerne en premier lieu l’anglais de spécialité (ASP), peut également porter sur d’autres langues de spécialité (LSP).
Pour l’ASP, la première question découlant de ce clivage est celle du statut scientifique de notre discipline (Saber 2019). Dans quelle mesure cette question est-elle liée à la méthodologie mise en œuvre ou au domaine de spécialité concerné ? Autrement dit, pour formuler cette question de façon un peu provocatrice, est-on par exemple plus scientifique lorsque l’on fait de l’ASP des sciences pour la santé que lorsqu’on travaille sur le domaine de l’économie ou que l’on enseigne les langues pour spécialistes d’autres disciplines (LANSAD) aux étudiant·e·s de sciences humaines ? Est-on plus scientifique lorsque l’on a recours à des corpus informatisés que lorsque l’on analyse la construction et le déroulement d’un cours d’ASP ? Parmi les nombreux aspects concernés par un tel questionnement, sans être exhaustifs, citons l’interdisciplinarité (Morin, 1994 ; Darbellay, 2011), la formation des enseignant·e·s chercheur·e·s, le cadre institutionnel lui-même, l’enseignement et la traduction, ceci aussi bien en LANSAD et dans les départements de langues étrangères appliquées (LEA) que sur les postes explicitement fléchés LSP.
Du point de vue de la pratique, le thème choisi fait écho à un sentiment apparu très tôt (Isani 1993) et qui semble être présent chez les collègues enseignant·e·s : celui de la légitimité face à l’apprenant·e. Bhatia (2004 : 204) définit ce sentiment comme une forme de nervosité. Ainsi, l’un des aspects à traiter pourrait être la question récurrente du débat entre savoir linguistique et savoir spécialisé ou, en d’autres termes, celle de déterminer quel degré de maîtrise de la discipline est nécessaire pour enseigner la langue afférente. De manière plus générale, quelle formation ou expérience professionnelle l’enseignant·e doit-il/elle avoir reçue ou connue dans le domaine enseigné afin d’être sûr·e de son identité professionnelle et, par là même, d’être certain·e de sa légitimité face à des d’étudiant·e·s expert·e·s dans le champ disciplinaire ? Pour (tenter de) mettre fin à ce débat, Van der Yeught (2018) suggère une nouvelle voie. Cette voie permettrait alors de ne pas rester coincé·e dans cette dualité qu’il nomme une position « entre deux chaises ». Ce colloque se propose d’être ainsi une occasion à saisir pour réfléchir précisément à cette « troisième chaise » (ibid.) et tenter de dépasser cette dichotomie entre les deux pôles, savoir et langue spécialisés.
Toutefois, dans le cadre du secteur LANSAD, rapidement des difficultés surgissent. En effet, la question de la spécialisation des étudiant·e·s et de la nature du lien entre cette spécialisation et les différentes variétés spécialisées de l’anglais, est centrale. Comment sortir du clivage langue générale et langue de spécialité ? La solution ne serait-elle pas d’évoquer plutôt « un domaine de discours ou d’expertise » (Whyte 2014) ? D’ailleurs, avec quel·le·s enseignant·e·s ? Les départements LANSAD sont majoritairement composés de professeur·e·s agrégé·e·s et certifié·e·s formé·e·s dans les filières traditionnelles en langues et il faut bien avouer qu’en dépit des nombreux postes offerts, il y a toujours trop peu d’enseignant·e·s chercheur·se·s formé·e·s en langue de spécialité. Enfin, en ces temps de débats autour de la mise en place d’une certification obligatoire en anglais en licence et pour les diplômes universitaires de technologie, il convient plus que jamais de réfléchir aux dispositifs permettant de certifier les compétences langagières spécialisées de nos étudiant·e·s.
En didactique, on sera nécessairement appelé à s’interroger sur les pratiques pédagogiques mises en place en salle de classe pour concilier les divers enjeux d’un enseignement de langue de spécialité – par opposition à la langue générale ou non. On pourra également s’interroger sur l’existence d’une didactique propre aux langues de spécialités scientifiques et littéraires – de même que juridiques, économiques, académiques ou encore liées à la santé, etc. – autour desquelles les praticien·ne·s de chacun de ces domaines se retrouvent. Le colloque permettra donc à chacun·e d’exposer sa vision et sa conception de l’enseignement des LSP de même que de présenter ses propres pratiques pédagogiques en fonction des domaines et des filières dont il/elle a la charge (par exemple avec le recours à la fiction à substrat professionnel, qui peut constituer un point de rencontre intéressant entre culture littéraire et scientifique). Ce sera ainsi l’occasion de partager nos savoir-faire – qu’il s’agisse de dispositifs transversaux ou au contraire, de dispositifs sur objectifs et formats spécifiques liés à une formation donnée.
Les spécialistes de traduction pourront s’interroger sur son rôle dans ces ruptures et continuités entre culture(s) littéraire et scientifique : la traduction contribue-t-elle à créer des ponts (Bensimon, 1998 : 3) ? Entre langues et domaines spécialisés ? Entre SHS et STIM ? Ou voit-on plutôt apparaître des ruptures à travers des problèmes de « translatability and untranslatability of cultures » (Rüdiger & Gross 2009) ? La place privilégiée de la traduction et de la traductologie, souvent représentées comme étant à un carrefour entre disciplines (Duarte et al. 2006), nous invite à considérer le caractère interdisciplinaire inhérent à l’activité de traduire, de façon générale mais surtout en milieu professionnel (Froeliger, 1999). Enfin, quelles sont les spécificités de la traduction spécialisée ? Dans un environnement de plus en plus dominé par la technologie, comme le remarque Lavault-Olléon, « [p]lus que jamais, il est nécessaire de susciter une réflexion non figée, ouverte sur d’autres domaines des sciences humaines et replaçant la traduction dans un ensemble englobant tous les aspects de l’opération de transfert […] » (Lavault-Olléon 2007 : x).
Modalités de soumission :
Sur le vaste ensemble de ces problématiques et sur des sujets apparentés, les auteurs et les autrices sont invité·e·s à soumettre leur proposition selon les modalités suivantes :
Langues de travail : anglais (privilégié) et français (de façon à faciliter la participation de nos collègues internationaux, les communications en français devront s’accompagner d’un diaporama en anglais)
Longueur des abstracts : 300 mots (hors références bibliographiques)
Date limite d’envoi des propositions : 1er décembre 2020
Modalité de soumission : [ https://geras2021.sciencesconf.org/ | https://geras2021.sciencesconf.org ] (site en construction) , onglet « dépôts »
Conférencier.e.s :
Roger Pouivet, Université de Lorraine (France)
Thomas Tinnefeld, Hochschule für Technik und Wirtschaft des Saarlandes (Allemagne)
Shona Whyte, Université Côte d’Azur (France)
Comité d’organisation :
Nicolas Molle, UFR LANSAD – laboratoire ATILF
Yvon Keromnes, UFR ALL Metz – laboratoire ATILF
Justine Paris, Université de Paris – membre associée ATILF
Stéphanie Lerat, INSPE Lorraine – laboratoire ATILF
Adam Wilson, UFR ALL Metz – laboratoire IDEA
Carine Martin, UFR LANSAD – laboratoire ATILF
Carmenne Kalyaniwala, UFR LANSAD – laboratoire ATILF
Vanessa Boullet, UFR ALL Nancy – laboratoire IDEA
Références :
Bensimon, P. 1998. Présentation. Palimpsestes 11, 9-14.
Bhatia, V. K. 2004. W orlds of Written Discourse. Londres : Continuum.
Darbellay, F. 2011. Vers une théorie de l’interdisciplinarité? Entre unité et diversi té, Nouvelles perspectives en sciences sociales : revue internationale de systémique complexe et d’études relationnelles , 7(1), 65-87.
Duarte, J. F., Rosa, A. A. & T. Seruya. 2006. Translation Studies at the Interface of Disciplines . Amsterdam / Philadelphie : John Benjamins.
Froeliger, N. 1999. Le traducteur face à l’interdisciplinarité. Revue des lettres et de traduction , Université Saint-Esprit 5, 101-112.
Isani, S. 1993. Langues de spécialité et savoir disciplinaire : contrainte institutionnelle ou outil pédagogique incitateur d’une interaction communicative ? ASp 2, 199-208.
Lavault-Olléon, E. (éd.). 2007. Traduction spécialisée : pratiques, théories, formations . Berne : Peter Lang.
Morin, E. 1994. Sur l’interdisciplinarité. Bulletin Interactif du Centre International de Recherches et Études transdisciplinaires 2 [En ligne], http://perso.club-internet.fr/nicol/ciret/bulletin/b2c2.htm.
Rüdiger, P. & Gross, K. 2009. Translation of Cultures . Amsterdam : Rodopi.
Saber, A., 2019. De la scientificité de l’anglais de spécialité. ASp 76, 1-8.
Snow, C. P. 1959. The Two Cultures and the Scientific Revolution . Cambridge : Cambridge University Press.
Sokal, A. & J. Bricmont. 1997. Impostures intellectuelles . Paris : Odile Jacob.
Van der Yeught, M. 2016. Protocole de description des langues de spécialité. Recherche et pratiques pédagogiques en langues de spécialité. Cahiers de l’APLIUT 35(1) [En ligne], DOI : https://doi.org/10.4000/apliut.5549.
Van der Yeught, M. 2018. Une épistémologie et une théorie des langues de spécialité au service de solutions pour le secteur LANSAD. In C. Chaplier & A.-M. O’Connell (éd.), Épistémologie à usage didactique- Langues de spécialité (secteur LANSAD) . Paris : L’Harmattan, 53-95.
Whyte, S. 2014. « Contexte pour l’enseignement-apprentissage des langues : le domaine, la tâche et les technologies ». Synthèse d’habilitation à diriger des recherches non publiée, Université du Havre.
GERAS 42nd International Conference – 18-20 March 2021 – Université de Lorraine, Nancy
CALL FOR PAPERS
Literary and scientific culture(s): Continuities and Discontinuities in English for Specific Purposes
In 1959, in Britain, C.P. Snow described two « cultures » that he believed radically divided the field of knowledge – a literary culture and a scientific culture. In France, this divide remains to this day, as evidenced by Sokal & Bricmont (1997). It should be noted that at the time of Snow’s writing, classical literature was highly valued socially – to the detriment of science. Today, the opposite is true, but the divide remains. And reading Morin (1994), one can understand how the historical formation of academic disciplines in the 19th century led to such divide. This implies that both diachronic and societal aspects may be taken into account when trying to characterize the phenomenon. It is therefore around this divide between sciences and humanities that the GERAS 2021 conference, which will take place on March 18-20 in Nancy, wishes to examine the relationship between language skills and domain-related knowledge. Primarily addressed to English for Specific Purposes (ESP), this investigation may also be directed to other Languages for Specific Purposes (LSP).
As for ESP, the first issue arising from this divide is that of a scientific status (Saber 2019). To what extent is this matter related to the methodology being used or to the domain involved? To put it in a somewhat provocative wording, is working on ASP for science / health, for example, more scientific than working on ESP for economics? Is it more scientific to work on large computerized corpora than to analyze the content or rationale of an ESP course? Among the many issues raised by such questioning, without being exhaustive, let us mention the following: interdisciplinarity (Morin, 1994; Darbellay, 2011), teacher-researchers training, the influence of institutional frameworks, teaching and translation – both in LANSAD and Language Studies departments as well as LSP-focused jobs.
>From a practical point of view, this theme also reminds one of a general feeling that was expressed very early on (Isani 1993) and which still seems to be experienced by teachers – uncertainty regarding one’s legitimacy towards learners, that Bhatia (2004: 204) describes as a form of nervousness. Another aspect of this issue that could be addressed is therefore the recurring debate between linguistic knowledge one the one hand and domain-specific knowledge on the other, or the degree to which the mastery of a given domain is necessary in order to teach its related language. What teacher-training or professional experience must teachers hold in the field being taught in order to feel at ease with their professional identities and, thereby, feel legitimate in front of theirs students – who are experts in that field? To (try to) put an end to this debate, Van der Yeught (2018) suggests a new way forward which would allow us to avoid getting stuck in this duality – that he describes as « sitting between two chairs ». This conference is thus intended as an opportunity to reflect precisely on a possible « third (middle) chair » (ibid.) and to try to overcome this dichotomy.
In the LANSAD sector, the issue of student specialization and the relationship between this specialization and the different varieties of English is central. How do you bridge the gap between general language and ESP? Could a solution be to evoke « a field of discourse” or “expertise » (Whyte 2014)? Also, counting on which teachers? LANSAD departments are mostly composed of associate professors and certified teachers trained in traditional language studies; and despite the many positions available in ESP, there are still too few teacher-researchers trained in this particular area of English Studies. Finally, at a time when a heated debate over the introduction of a mandatory English certification at the bachelor’s degree level is taking place, isn’t it more important than ever to think about now to assess / certify the ESP skills of our students?
In didactics, we might have to wonder about the pedagogical practices that can be set up in the classroom in order to reconcile the various issues involved when teaching ESP – as opposed to general language. We may also question the existence of a didactic approach to English for scientific and literary purposes –as well as legal, economic, academic, health-related, etc. purposes– about which teachers in each of these fields will concur. The conference will therefore allow practitioners to present their visions and conceptions of ESP teaching as well as their own teaching practices (for example, with the use of FASP, which may be an interesting meeting point between literary and scientific cultures). The conference will thus be the opportunity to share our pedagogical expertise – be it cross-disciplinary or, on the contrary, based on a specific student population with specific training course objectives.
Finally, translation specialists may enquire about the position of translation within these continuities and discontinuities between literary and scientific culture(s). Does translation contribute to building bridges (Bensimon, 1998: 3)? Between language and specialized fields? Between the Humanities and Sciences? Or do we rather see discontinuities / breaks appearing in the guise of problems of « translatability and untranslatability of cultures » (Rüdiger & Gross 2009)? The privileged position of translation and Translation Studies, often seen as being at a crossroads between disciplines (Duarte et al. 2006), invites us to think about the interdisciplinary aspect that is inherent to the activity of translating – both in general and in a professional context (Froeliger, 1999). Also, what are the specific features of specialized translation? In an environment increasingly dominated by technology, as Lavault-Olléon notes, « [m]ore than ever before, it is necessary to encourage openness to other areas of the human sciences and that places translation in a whole that takes into account all the aspects of the transfer operation […] » (Lavault-Olléon 2007: x).
Submission guidelines
On these very broad issues, authors are invited to submit their proposals according to these guidelines:
Format : 300-word abstracts (excluding bibliographical references)
Languages : English (preferred) and French (in order to facilitate the participation of our international colleagues, communications in French should be accompanied by slides in English)
Deadline: December 1st 2020
Abstract submission : https://geras2021.sciencesconf.org (en construction)
Plenary speakers:
Roger Pouivet, Université de Lorraine (France)
Thomas Tinnefeld, Hochschule für Technik und Wirtschaft des Saarlandes (Allemagne)
Shona Whyte, Université Côte d’Azur (France)
Organizing committee:
Nicolas Molle, UFR LANSAD – laboratoire ATILF
Yvon Keromnes, UFR ALL Metz – laboratoire ATILF
Justine Paris, Université de Paris – membre associée ATILF
Stéphanie Lerat, INSPE Lorraine – laboratoire ATILF
Adam Wilson, UFR ALL Metz – laboratoire IDEA
Carine Martin, UFR LANSAD – laboratoire ATILF
Carmenne Kalyaniwala, UFR LANSAD – laboratoire ATILF
Vanessa Boullet, UFR ALL Nancy – laboratoire IDEA
Références :
Bensimon, P. 1998. Présentation. Palimpsestes 11, 9-14.
Bhatia, V. K. 2004. W orlds of Written Discourse. Londres : Continuum.
Darbellay, F. 2011. Vers une théorie de l’interdisciplinarité? Entre unité et diversi té, Nouvelles perspectives en sciences sociales : revue internationale de systémique complexe et d’études relationnelles , 7(1), 65-87.
Duarte, J. F., Rosa, A. A. & T. Seruya. 2006. Translation Studies at the Interface of Disciplines . Amsterdam / Philadelphie : John Benjamins.
Froeliger, N. 1999. Le traducteur face à l’interdisciplinarité. Revue des lettres et de traduction , Université Saint-Esprit 5, 101-112.
Isani, S. 1993. Langues de spécialité et savoir disciplinaire : contrainte institutionnelle ou outil pédagogique incitateur d’une interaction communicative ? ASp 2, 199-208.
Lavault-Olléon, E. (éd.). 2007. Traduction spécialisée : pratiques, théories, formations . Berne : Peter Lang.
Morin, E. 1994. Sur l’interdisciplinarité. Bulletin Interactif du Centre International de Recherches et Études transdisciplinaires 2 [En ligne], http://perso.club-internet.fr/nicol/ciret/bulletin/b2c2.htm.
Rüdiger, P. & Gross, K. 2009. Translation of Cultures . Amsterdam : Rodopi.
Saber, A., 2019. De la scientificité de l’anglais de spécialité. ASp 76, 1-8.
Snow, C. P. 1959. The Two Cultures and the Scientific Revolution . Cambridge : Cambridge University Press.
Sokal, A. & J. Bricmont. 1997. Impostures intellectuelles . Paris : Odile Jacob.
Van der Yeught, M. 2016. Protocole de description des langues de spécialité. Recherche et pratiques pédagogiques en langues de spécialité. Cahiers de l’APLIUT 35(1) [En ligne], DOI : https://doi.org/10.4000/apliut.5549.
Van der Yeught, M. 2018. Une épistémologie et une théorie des langues de spécialité au service de solutions pour le secteur LANSAD. In C. Chaplier & A.-M. O’Connell (éd.), Épistémologie à usage didactique- Langues de spécialité (secteur LANSAD) . Paris : L’Harmattan, 53-95.
Whyte, S. 2014. « Contexte pour l’enseignement-apprentissage des langues : le domaine, la tâche et les technologies ». Synthèse d’habilitation à diriger des recherches non publiée, Université du Havre.

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